Comment est réalisé Mangacast ?

Comment est réalisé Mangacast ?

Après 10 numéros parus (5 Mangacast et 5 Mangacast Omake), nous avions envie d’aborder un peu « l’envers du décors », comment on réalise concrètement notre podcast tous les mois…

Du concept à la diffusion, en passant par la technique !

1°/ Le concept

Il faut tout d’abord savoir que si Mangacast existe c’est parce que nous avions produit, préalablement, le podcast du site Figure Maniax (FMX). En effet, Athras, Blackjack et moi-même avons commencé par réaliser et animer une émission dédiée aux figurines manga avant de nous lancer dans l’aventure Mangacast.

Les premiers tests du Podcast FMX ont eu lieu en juillet 2012 après plusieurs mois de discussions, et les contours de Mangacast ont vite émergés au même moment (le nom de domaine à été déposé en août 2012).

Notre équipe est passionnée de figurines et de produits dérivés, mais avant tout de manga et d’animation japonaise, et nous avions vraiment envie de réaliser une émission autour de notre passion première, plus encore que de parler de produits dérivés.

S’il existe déjà quelques podcasts (audio et vidéo) autour du thème général du manga, voire de la culture moderne japonaise, il n’y avait pas vraiment d’émission correspondant pleinement à nos aspirations. Et ce, même dans celles que nous suivons nous même et que nous aimons.

Le podcast Gameblog qui a inspiré le format de MangacastEtant consommateur de podcast, je suis fasciné depuis longtemps par l’émission audio de Gameblog. Si je ne suis pas lecteur des articles du site, je reste impressionné par le contenu de leurs podcasts, par la qualité de leurs dossiers et de leurs débats.

Clairement, il nous paraissait manquer d’un simili-équivalent dans notre domaine, où nous pourrions tracer des portraits d’auteurs, proposer des dossiers sur des licences phares, réaliser des sagas d’entreprises françaises ayant marqué le domaine, et enfin animer des débats sur des sujets importants et de temps en temps polémiques.

Ces mêmes débats dont l’architecture est en partie calquée sur la façon de procéder de certains talks de la station de radio RMC.

L'équipe du podcast : Kobito, Blackjack, Kubo et AthrasLes rôles et les goûts de chacun sont plutôt bien définis, ce qui nous assure un certain éclectisme : Blackjack est le passionné de seinen, de shônen old school, et globalement de tout ce qui est « sévèrement burné », que nous aimons taquiner (même en dehors du podcast), Athras est le lecteur compulsif –et Droopy à ses heures-  qui consomme de tous les genres, je suis le grand consommateur de shônen et de productions « ecchi » que les autres essaient de faire passer pour un gros pervers, et, enfin, Kobito est le vieux routier, grand connaisseur de part son métier (libraire manga) qu’il exerce depuis longtemps et sa passion toujours intacte, qui a roulé sa bosse dans le domaine depuis plus de 20 ans, et surtout est en capacité de lire et de digérer absolument tous les genres (ce qui n’est pas rien !).

Si nos goûts sont très différents, bien que se rejoignant sur certains titres, nous ne faisons pas en sorte d’amplifier artificiellement nos différences pour donner plusieurs sons de cloches. Nous ne jouons pas des rôles, et donc nous donnons toujours notre sentiment personnel, qui peut-être tout à fait similaire.

C’est dans cette idée que Mangacast est né.

Une émission à « forte » personnalité, où le ton est libre et engagé (tout en restant respectueux et en évitant la diffamation), mais où nous parlons de ce que nous aimons avec passion et conviction.

Le concept ayant été « trouvé », il nous fallait un « habillage » sonore et notamment un générique d’introduction pour chaque émission. Après quelques discussions, nous avons opté pour une version remix de Makafushigi Adôbencha, l’opening theme de l’animé Dragon Ball. Ce thème nous correspond plutôt bien car issu d’un titre hautement culte, qui a bercé notre enfance tout en étant toujours une valeur sure de l’animation japonaise.

Nous aurions pu conserver le thème pour le générique de clôture, mais, finalement, nous avons choisi d’utiliser une chanson en rapport avec le sujet de l’émission (ou de notre choix si ce n’est pas possible) pour les Mangacast, et une d’un des animés chroniqués pour les Mangacast Omake.

2°/ La technique

La platine et le PC avec lesquels Mangacast est enregistréDès que nous avons fermement décidé de produire Mangacast (vers octobre 2012), la question technique n’a pas été un problème. Nous avions déjà « l’expérience » du Podcast Figure Maniax en termes d’enregistrement et de distribution, et bien entendu nous pouvions utiliser le matériel à disposition.

Finalement, le choix le plus simple aurait été d’enregistrer les émissions via des conférences Skype avec un casque-micro pour chacun.

Ca nous aurait permis de recevoir n’importe quel invité, quelle que soit sa localisation géographique, et d’être confortablement installés chez nous.

Mais cette solution a été immédiatement écartée car qualitativement beaucoup trop médiocre. Un tel enregistrement est soumis aux connexions des uns et des autres, qui détériore grandement le son (sauf de celui qui enregistre la « conférence »), et, de toute façon, la qualité des micro-casques actuels ne nous convenait pas pour le rendu souhaité.

Il aurait, aussi, été possible d’user ce cette méthode, puis de récupérer les flux enregistrés indépendamment sur les ordinateurs uns et des autres, mais ça reste fastidieux en terme de montage, le décalage dans la discussion persiste et on perd un peu de naturel.

Il m’apparaît fondamental de proposer une émission à la qualité sonore la meilleure possible, car dans un format audio c’est l’élément le plus important, devant même le contenu « éditorial ».

Et puis, franchement, je suis un peu « vieille école ». J’aime avoir en face de moi la personne avec laquelle je débats, voir ses réactions, le moment où elle souhaite prendre la parole. Tout est plus naturel et plus clair quand les participants d’un « talk » sont réunis dans la même pièce.

Du coup, il nous fallait être équipé de matériel spécifique et avoir un espace pour enregistrer.

Hayaku Shop

Le lieu fut vite trouvé : ce serait le magasin Hayaku Shop à Paris, dont Kobito est le patron. C’est un lieu central dans Paris (le 5ème arrondissement), bien desservi par les transports, et nous pouvons, ainsi, enregistrer dès la fermeture de la boutique.

Au niveau matériel, nous utilisons une partie des moyens mis à notre disposition par Figure Maniax :

  • une platine d’enregistrement (avec 6 entrées XLR) connectée en USB à un ordinateur portable enregistrant l’ensemble de l’émission,
  • 6 micros cardioïdes et 6 câbles XLR pour capter la voix,
  • une tablette tactile servant de « soundbox« ,
  • et un micro-ampli casques pour avoir un retour son pendant l’enregistrement.

La platine et le PC avec lesquels Mangacast est enregistré Le PC avec lequel Mangacast est enregistré

3°/ Le contenu

Globalement, les sujets des Mangacast sont programmés à l’avance selon nos souhaits de thématiques, l’actualité des éditeurs et les dates anniversaires qui tombent dans l’année.

La tablette qui nous sert de "soundbox"Mais l’actualité peut bouleverser le planning établi. Ca a, d’ailleurs, été le cas pour le n°4 consacré à l’arrêt de la publication de manga chez Ankama. 15 jours auparavant, l’info a été dévoilée, et le sujet prévu à été décalé pour pouvoir aborder ce sujet délicat mais aux répercutions importantes.

Il arrive que ce soit des éditeurs ou des « experts » qui nous proposent des thèmes pour d’éventuelles émissions. Selon notre planning ou la pertinence du sujet, nous sommes amenés à modifier notre calendrier pour trouver une place à une saga ou un dossier proposé.

Dix jours avant chaque émission, nous choisissons chacun les titres que nous souhaitons chroniquer dans le Mangacast Omake, selon les sorties entre la précédente édition et la future.

On essaye d’être assez larges en thème de titres évoqués, mais il est clair que nous allons souvent vers nos genres de prédilection.

Cela ne s’applique pas vraiment à Kobito qui, de part son statut professionnel, lit vraiment tous les genres possibles : du shônen au kôdomo, en passant par le josei et le yaoi.

« Etrangement », le seul à parler de titres érotiques c’est moi. Aucun autre chroniqueur n’a le courage d’assumer ses lectures inavouables !

La plupart du temps, en dehors des titres que dont on veut absolument parler, nous essayons de chroniquer les premiers volumes de nouvelles séries.
D’abord parce que nous ne sommes pas influencés par les volumes précédents (en bien ou en mal), ensuite parce que les éditeurs ont besoin que l’on parle de leurs nouvelles licences, et enfin parce qu’il est toujours agréable de découvrir de nouveaux manga.

Finalement, on ne s’arrête presque jamais de travailler sur le podcast, car une fois l’émission enregistrée et diffusée, nous commençons à préparer la suivante.

Souvent, ce sont même plusieurs émissions que nous préparons en parallèle, selon la densité de certaines…

4°/ L’enregistrement

La platineL’enregistrement à proprement parler est programmé aux alentours du 10 de chaque mois, selon les disponibilités de l’équipe et de l’éventuel invité.

Mangacast est enregistré dans les conditions du direct, sans pause.
Ca a été un choix immédiat.

Ce n’est pas toujours évident, car il faut garder son attention tout le long, mais ça nous parait nécessaire pour conserver la spontanéité d’une émission sans coupure.

Les Mangacast et Mangacast Omake de chaque mois sont enregistrés à la suite, avec une coupure de 15-20 minutes entre les 2 émissions le temps de tout mettre en place pour la seconde.

Il nous faut, donc, travailler le contenu de ces 2 émissions différentes à l’avance.

Je me dote d’un bon paquet de notes (le plus souvent trop d’ailleurs) afin de ne pas me retrouver avec un trou de mémoire préjudiciable, et de pouvoir conduire l’émission correctement selon le « chemin de fer » prévu.

Les différents membres de l’équipe ont tous connaissance des sujets qu’ils doivent traiter, et préparent leurs notes en conséquence. Elles sont plus ou moins importantes selon l’aisance et les souhaits de chacun. Kobito se dote souvent de longues notes quand Blackjack se contente de peu.

La platine et 1 de nos microsDurant les enregistrements, nous essayons de rester dans les limites question digressions et private jokes, mais ce n’est pas toujours suivi d’effet, surtout durant les Omake.

Ceux-ci étant enregistrés après le Mangacast mensuel, il est bien souvent déjà tard, avec une émission dans les pattes, et on se retrouve quelque peu « désinhibés ». Souvent trop, mais on ne s’en rend compte qu’après…

Bien que nous n’ayons « que » 6 entrées pour micros sur la platine, nous ne nous limitons pas forcément à 2 intervenants invités. Pour les besoins de certains débats futurs, nous comptons faire venir 4-5 personnes qui devront se passer le micro au gré des interventions.

Si nous ne manquons pas de place habituellement, dans cette configuration future nous risquons d’être un poil serrés, mais ce sera pour la bonne cause !

Globalement, nous avons la chance de ne pas (encore ?) avoir connu de pépin grave durant l’enregistrement, comme une perte totale de l’émission après son enregistrement ou une coupure sauvage d’électricité.
Mais si ce genre de chose nous a été épargné pour le moment, nous avons vécu un numéro 5 plutôt chaotique avec un redémarrage du PC pendant l’enregistrement (et la perte de 2 ou 3 minutes enregistrées) et une fausse alerte qui nous a fait nous arrêter une seconde fois. Ceci sans compter sur le soucis de grésillement du Mangacast 05 qui était plutôt désagréable, bien qu’atténué au montage.

Espérons que nous revivrons pas ces soucis de sitôt !

Si les gros pépins ne sont pas une habitude lors des enregistrements de Mangacast, il reste quelques anecdotes et situations qui ont rythmées nos émissions.
Comme lors de l’enregistrement du Mangacast n°01, pendant que notre invité parlait, un voisin n’a rien trouvé de mieux à faire que de balancer son stock de bouteilles en verre dans le container se trouvant juste derrière un des murs de la pièce où nous enregistrons. Le monsieur devait avoir un sacré stock chez lui, car son petit manège à duré pas moins de 10 minutes, durant lesquelles il a été bien difficile de garder notre sérieux.

Au rayons des bruits « parasites », il y a aussi cet énergumène qui beuglait devant la vitrine d’Hayaku Shop, perché sur une voiture, durant l’enregistrement du numéro 03 !
Les aléas de l’enregistrement en soirée dira-t-on !

5°/ Le montage

AudacityJe capture et je monte Mangacast sur le même logiciel open-source : Audacity. Il a le mérite d’être plutôt complet, pas trop compliqué et surtout… gratuit !

Enregistrer toute l’émission d’un bloc, sans coupure, facilite le montage final. J’effectue peu de coupe, et je ne rajoute, a postériori, que les génériques d’entrée et de clôture, afin d’avoir une source musicale la moins altérée possible.

Je gomme, au maximum, les souffles et les bruits disgracieux, afin de proposer un résultat correct.

Les jingles de transition, qui bordent les différentes rubriques, sont eux incrustés directement pendant l’émission, via la « soundbox » qui est branchée à la platine.

Le défi « majeur » du montage de Mangacast est essentiellement de baisser les voix « fortes » et de monter les voix « basses », afin d’avoir un maximum d’uniformité.

Ca reste quelque chose de compliqué, car certains tiennent leur micro bien en face et à bonne distance, quand d’autres sont plus éloignés ou ont une intonation de voix assez basse.
Nous faisons du mieux possible pendant l’enregistrement, mais, ça reste quelque chose de compliqué à gérer.

J’ai conscience qu’il est toujours désagréable pour un auditeur de devoir monter ou baisser le son selon les intervenants, et j’essaie de gommer cet effet au mieux, avec dans l’optique de proposer l’émission le lendemain de son enregistrement (ou le surlendemain, selon nos diverses obligations), et l’Omake une semaine après diffusion du Mangacast.

Montage du Mangacast Omake 05

6°/ La diffusion

Mangacast sur iTunes (web)En plus de la disponibilité sur le site, et dans iTunes, nous avons la chance d’être assez largement diffusés sur le web : que ce soit chez nos amis de BadGeek, sur Podradio, Nihon no OTO ou Asia is One.

C’est une chance et un plaisir que de pouvoir toucher tant de gens, grâce au bon vouloir et au travail de tous nos partenaires et amis. La communauté « podcastique » est extraordinaire et aide vraiment les petits nouveaux à être visibles (en dehors de quelques rares qui n’apprécient pas l’arrivée de newbies qualifiés de « concurrents » ou de « copieurs »).

Pour pouvoir être écoutés le plus largement possible, nous encodons le fichier final en MP3 uniquement. C’est un format universel, aussi bien compatible avec n’importe quel ordinateur, n’importe quel lecteur audio numérique, n’importe quel autoradio ou chaine hifi MP3, et bien évidemment avec l’écosystème iTunes/Apple.

Dès son montage chaque émission se voit adjoindre sa fiche sur le site, afin de pouvoir y écouter l’émission en streaming et accéder aux informations utiles aux auditeurs du podcast.

Ca nous parait être fondamental afin de proposer une émission réellement complète, avec images et liens en rapport.

BadGeek Asia is OneNihon no OTO

7°/ Et maintenant ?

Nous avons eu la chance que Mangacast trouve rapidement son public, et que nos audiences soient très bonnes dès le premier numéro.
Il faut dire que retracer la Saga Cartoonist l’année de son retour et de ses 20 ans, a été quelque chose de fondamental pour « installer » notre podcast.

Nous avons quelque peu tâtonné sur le premier numéro, mais avons vite trouvé notre formule « idéale ».

Dès le départ, nous souhaitions avoir un assez large éventail de sujets possibles : débats, sagas, dossiers, dossiers d’actualité, portraits…, afin de ne pas nous enfermer dans un seul type d’émission, et de pouvoir proposer une large palette aux gens qui nous écoutent.

Cela nous permet d’être réactifs vis-à-vis de l’actualité et de pouvoir revenir sur des licences, des auteurs ou des entreprises phares.

Si le premier numéro a été un succès (c’est souvent le cas pour le un n°1), ça a aussi été le cas pour les suivants, car l’audience se maintient à un bon niveau, et un numéro ne chasse pas forcément les précédents, avec, encore aujourd’hui, des dizaines de nouvelles écoutes des premiers numéros chaque jour.

Mangacast fonctionne bien, mais les Omake fonctionnent plutôt bien eux aussi, et suivent les audiences de l’émission « mère » avec un très léger moins question auditeurs.

Bien que le succès soit au rendez-vous il n’est pas question, pour autant, de s’endormir sur nos lauriers.

Nous continuerons à travailler dur, et à donner le meilleur de nous même, car c’est la seule voie possible pour proposer une émission qualitative.

Nous ne pensons pas être « arrivés », loin de là, et nous tentons de nous remettre en question régulièrement afin de gommer nos erreurs, nos manques, et de nous appuyer sur nos points forts.

Dès le départ, nous avons conçu Mangacast (et Mangacast Omake) avec le souci du public, pas dans une idée d’un délire entre potes qui parlent entre eux de ce qu’ils aiment, mais bien dans l’idée que des gens écouteraient notre travail.
Si nous prenons un plaisir énorme à préparer et à enregistrer le podcast, nous n’oublions pas notre unique objectif : proposer la meilleure émission possible, avec le respect de la personne qui prendra le temps de nous écouter.

Nous continuerons à vous proposer de nouveaux dossiers, de nouvelles sagas, de nouveaux débats, dans les mois qui viennent. Avec l’espoir que vous prendrez toujours plaisir à écouter notre travail.

N’hésitez pas à nous faire des retours sur les émissions, via les commentaires sur le site, sur Facebook ou Twitter, car c’est ainsi que l’on peut s’améliorer, et vos retours sont bien souvent source de motivation !

Merci de nous suivre et d’écouter Mangacast !

A bientôt pour un prochain numéro !

Kubo

Photos © bebopnoun / Mangacast, Asurada Prod.



6 Réponses à Comment est réalisé Mangacast ?

  1. Salamèche dit :

    Sympa de découvrir l’envers du décor ! ^o^
    J’ai découvert mangacast vers février, lorsque j’ai vraiment commencé à devenir grande consommatrice de manga.
    C’est agréable de vous entendre vous taquiner et montrer vos opinions perso sans prise de tête. J’ai tout de suite perçu que c’était bien organisé, comme l’a confirmé cet actu ^o^
    Je continue à vous suivre et j’ai hâte d’entendre les prochains numéros ! *o*

    • Kubo dit :

      Merci à toi !
      On travaille sur le prochain numéro qui sera enregistré la semaine prochaine.

      Merci de ton soutien et de ta fidélité ! 🙂

  2. Alvisd dit :

    Super article, de plus en plus pro!!! Par contre quel type de tablette utiliser vous, et avec quels logiciels? Il suffi juste de la brancher en jack sur la console? En tout cas merci de partager l’expérience^^

    • Kubo dit :

      Salut Alvis,

      On utilise une Nexus 7 avec l’appli ADJ Pro (l’une des rares à ne pas enchaîner automatiquement les musiques de la sélection).

      En effet, elle est branchée via mini jack > jack sur la platine, le plus simplement du monde ! ^^

      Merci pour les compliments ! 🙂

  3. omtsubasa dit :

    C’est limite un job à plein temps (plus le fait de répondre aux auditeurs sur le site et sur les différents réseaux sociaux où vous êtes présents). Mais bon, quand on aime, on ne compte pas les heures, hein. Bon courage, ça fait plaisir de voir des gens passionnés s’organiser et persévérer dans leur voie 🙂

    • Kubo (@Kubo_FR) dit :

      Peut-être pas à temps plein, mais j’avoue que je ne compte pas mes heures chaque mois entre choix des sujets, préparation, design, relations avec les pros, post-prod’ et diffusion ! 😉

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